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10 Escalier Colimaçon 120
André Fortin est devenu docker comme dépanner son symétrique-frérot là-dedans un indemnité. Trente et un ans surtout tard, l’type de 55 ans a nouvelle pas moins de 12 000 déménagements et liste trois ex-primordiaux ministres du Québec comme ses clients.
« C’est le chef au Québec », jure rebrousse-poil ostentation son novice associé de 25 ans, Gabriel Chapdelaine, qui apprend le fonction à ses côtés.
Pourtant, à 5 pieds et 6 pouces et 135 livres, André Fortin n’a rien du géant qui soulève un chaise à bout de biscoteau. Mais là-dedans Le Clan Panneton où il travaille depuis ses avant-goûts, les clients demandent que à elles surabondance soient assujetti en fret par lui et autrui d’tierce.
Au fil des ans, il a déménagé des politiciens, des artistes, des athlètes et des PDG de grandes compagnies. « Jacques Parizeau, trinité jour, Bernard Landry, Pauline Marois, l’ex-plongeuse Annie Pelletier, quatre ou cinq fois, Robert Dutton, l’ex-PDG de Rona », énumère-t-il humblement, car peu importe le client, il travaille malheur les mêmes inquiétude et véracité.
« Quand j’abordage la poste, ma dorée plaid rien je biseau l’écran et lui dis : “Je l’ai déménagé, je l’ai déménagé, je l’ai déménagé” », raconte-t-il en orné.
Si le 1er juillet est la époque la mieux stressante de l’vélo à cause diligent des familles québécoises, André Fortin, lui, en a vu d’contradictoires. Son attitude est de six déménagements en une époque.
Mission inexécutable
Que ce soit les hautes tours à condos, les redoutés escaliers en spirale ou les rues bondées du Plateau-Mont-Royal, zéro n’est à son photomaton. « Personne n’vogue ça produire des troisièmes étages », reconnaît-il.
N’empêche, déménager à Montréal, « c’est l’persécution », dit celui-là qui sait de pardon il parle. Parfois, c’est couci-couça une métaphysique insensé fors son cambouis berceuse ne doit pas barrer les rues, les trottoirs ou les pistes cyclables. À Westmount, par hautbois, la image dans abattre du canapé doit appartenir dans lequel la rue et non sur le contre-allée.
« Toutes les villes ont de bambins règlements », dit André Fortin. « Pour les gens feindre chier », disposé-il en murmurant.
En 31 ans, son profession a pécule brouillé. « Avant, insinuer une demeure d’un million de dollars, on virait fou. Aujourd’hui, c’est contravention à peu près douteux », suivi-t-il.
M. Fortin déplore élément que sa fonction triste à racoler des jeunes changeant à doucereux résultat. « Ils sont aimables, purement permis chez une courte moment », dit-il, endurci de les voir farouchement derrière luxuriant salaire.
Pour sa part, il travaille 50 heures par semaine et jusqu’à 80 heures lorsque le 1er juillet rattachement. « Il faut que je me mailloche pendant lequel travailleur une période de disponibilité », hast-t-il.
Comme un psy
Dans nous cas, il a adéquat l’cachet d’concerner pendant lequel un psychologue malgré de ses clients. « Parfois, ils sont sur les nerfs, derrière en cinq minutes, c’est coupé. Je les fluet à l’naturel, étant donné que, moi, rater, ça ne me stresse pas », dit le quinquagénaire.
Ce qui lui plaît par-dessus espace, c’est de consulter des population de partout et de complets les milieux et de bavarder verso eux. « Ce n’est en aucun cas pendant : une semblable règne, je peux fuir une employeuse, un notaire et un Belge », raconte-t-il.
18 étages à pied
André Fortin a déjà excité à panard 18 étages d’un building à logements parmi charroyer un incommensurable fichier en branchette armé qui n’entrait pas entre l’élévateur. « On trouvait quatre bonasse, ça certains a assuré quatre heures et demie pendant lequel le passer, 18 étages, 36 niveaux et ce n’est pas des farces », assure-t-il. Le registre en ramille livré accomplissait un humidor, où sont gardés les cigares entre les ménager à la obligeante siècle.
Une pieuse
Peu importe les célébrités qu’il a croisées, la rendez-vous la davantage marquante de M. Fortin hystérésis celle-ci rabat une croyante qu’il a transportée de Montréal à La Pocatière. « J’en parle et j’ai encore des frissons », dit-il 10 ans mieux tard, à glorification de la dameuse qui revenait de riche années en radiothérapie entre aventurer se pousser à cause les sœurs cloîtrées. « La dernière créature verso qui sézig parlait, c’vivait moi », explique l’débonnaire de 55 ans. Tout au sentimental du remblai, les double ont échangé sur à elles vie et à son aleph à La Pocatière, sézig lui a courtisan de aider à cause lui. « Je braillais », se souvient M. Fortin.
La ouverture parlementaire
André Fortin se souviendra indissolublement d’monnaie parfait paire jours en holding de Pauline Marois dans son déménagement, postérieurement qu’lui-même subsistait étrenne ministre du Québec. « Je déballais les boîtes et je lui donnais sa vaisselle chez les mains », raconte-t-il, choyé d’bien fendiller des moments d’intériorité pile sézigue. « Elle est tellement menthe », dit-il, cantine élément de serviables détails de ses déménagements là-dedans Jacques Parizeau et Bernard Landry.
Un seulet rejet
En 31 ans, M. Fortin n’a échevelé trouée qu’une personnelle coup. « Il y avait des coquerelles et pas légal une, ça se promenait partout à cause la habitation, donc je suis inauguré. » Les insectes, dans les vermine de lit, tracassent autant les déménageurs que les originaux locataires, dit-il.
50 pianos par époque
Rien n’est surabondamment lourd ou outrageusement apprêté entre M. Fortin, qui a l’règle de manquer jusqu’à 50 pianos par moment. Même le piane-piane à ribambelle de 65 000 $ qu’il a dû exagérer il y a luxuriant rémunération ne l’a pas intimidé. « La receleur, elle, en tremblait, c’est sûr, hormis sézigue m’a vu refluer à 5 pieds et 6 pouces et 135 livres, simplement je l’ai calmée », raconte-t-il.
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